We Love God!

God: "I looked for someone to take a stand for me, and stand in the gap" (Ezekiel 22:30)

Any training – physical, mental, or spiritual – is characterized at first by failure. We fail more often than we succeed. But if we persevere, we gradually see progress till we are succeeding more often than failing. This is true as we seek to put to death particular sins. At first it seems we are making no progress, so we become discouraged and think, What’s the use?! I can never overcome that sin. That is exactly what Satan wants us to think. It is at this point that we must exercise perseverance. We keep wanting instant success, but holiness doesn’t come that way. Our sinful habits are not broken overnight. Follow-through is required to make any change in our lives, and follow-through requires perseverance.
Jerry Bridges

Only the Christian gospel presents….a way in which justice and mercy kiss each other… First, Christianity confirms the fact that justice must be satisfied. Sin must be condemned according to its demerit. This means eternal doom. The sinner must be damned because God must be inexorably holy and just. His all-powerful Being must vindicate His all-holy Being. Christianity never compromises the ever-blessed purity and excellency of the divine nature. Second, Christianity alone finds a way to satisfy infinite justice and provide infinite mercy at the same time. What no other religion has dreamed of, Jesus Christ has accomplished. He underwent the infinite wrath of God against sin and lived to bestow His mercy on the damned sinners for whom He died. The infinite Son of God took upon Himself a human nature in which He underwent the full fury of the divine wrath. The omnipotent God satisfied His violated holiness by punishing sin completely in His blessed Son, who “became sin” for His people. The justice of God was vindicated in full in the substitute, His own Son, our Saviour dear. He survived that awful vengeance and rose victor over the grave by the power of His own divinity. Now He offers to every sin-sick and “pleasure” – burdened soul an everlasting mercy. Perfect mercy and perfect justice in the gospel of the crucified.
John Gerstner

Bible – French Darby Esther Chapter 1:1-22.

Index: French Darby

 

Esther 1

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1:1 ¶ Et aux jours d’Assuérus (cet Assuérus régnait depuis l’Inde jusqu’à l’Éthiopie sur cent vingt-sept provinces),

1:2 en ces jours-là, il arriva que le roi Assuérus, étant assis sur le trône de son royaume,

1:3 à Suse, la capitale, la troisième année de son règne, fit un festin à tous ses princes et ses serviteurs, les puissants de la Perse et de la Médie, les nobles et les chefs des provinces étant devant lui,

1:4 -montrant les richesses glorieuses de son royaume et le faste magnifique de sa grandeur pendant nombre de jours, pendant cent quatre-vingt jours.

1:5 Et quand ces jours furent accomplis, le roi fit à tout le peuple qui se trouvait à Suse, la capitale, depuis le grand jusqu’au petit, un festin de sept jours, dans la cour du jardin du palais du roi:

1:6 des draperies blanches, vertes, et bleues, étaient attachées par des cordons de byssus et de pourpre à des anneaux d’argent et à des colonnes de marbre blanc; les lits étaient d’or et d’argent, placés sur un pavement de marbre rouge et blanc, d’albâtre, et de marbre noir.

1:7 Et on donna à boire dans des vases d’or, les vases différant les uns des autres, et il y avait du vin royal en abondance, selon la puissance du roi.

1:8 Et on buvait, selon l’édit: on ne forçait personne; car c’est ainsi que le roi avait ordonné à tous les grands de sa maison, de faire selon le gré de chacun.

1:9 La reine Vasthi aussi fit un festin pour les femmes de la maison royale du roi Assuérus.

1:10 ¶ Au septième jour, comme le coeur du roi était gai par le vin, il dit à Mehuman, à Biztha, à Harbona, à Bigtha, et à Abagtha, à Zéthar, et à Carcas, les sept eunuques qui servaient devant le roi Assuérus,

1:11 d’amener la reine Vasthi devant le roi, avec la couronne du royaume, pour montrer sa beauté aux peuples et aux princes, car elle était belle de figure.

1:12 Mais la reine Vasthi refusa de venir à la parole du roi transmise par les eunuques. Et le roi se mit fort en colère, et sa fureur s’embrasa en lui.

1:13 Et le roi dit aux sages qui connaissaient les temps (car les affaires du roi se traitaient ainsi devant tous ceux qui connaissaient la loi et le droit:

1:14 et les plus rapprochés de lui étaient Carshena, Shéthar, Admatha, Tarsis, Mérès, Marsena, Memucan, les sept princes de la Perse et de la Médie qui voyaient la face du roi et qui siégeaient au premier rang dans le royaume):

1:15 Que faut-il faire à la reine Vasthi, selon la loi, pour n’avoir pas fait ce que le roi Assuérus a commandé par l’intermédiaire des eunuques?

1:16 Et Memucan dit devant le roi et les princes: Ce n’est pas contre le roi seulement que la reine Vasthi a mal agi, mais contre tous les princes et contre tous les peuples qui sont dans toutes les provinces du roi Assuérus;

1:17 car cette affaire de la reine se répandra parmi toutes les femmes, de manière à rendre leurs maris méprisables à leurs yeux, en ce qu’elles diront que le roi Assuérus a commandé d’amener la reine Vasthi devant lui, et qu’elle n’est pas venue.

1:18 Et aujourd’hui les princesses de la Perse et de la Médie qui auront appris l’affaire de la reine parleront de même à tous les princes du roi; et il y aura assez de mépris et de colère.

1:19 Si le roi le trouve bon, qu’un ordre royal émane de lui et soit inscrit dans les lois de la Perse et de la Médie, et ne passe pas, que Vasthi n’entrera plus devant le roi Assuérus; et que le roi donne la dignité royale de Vasthi à une autre qui sera meilleure qu’elle;

1:20 et l’édit du roi, qu’il aura fait, sera connu dans tout son royaume, car il est grand, et toutes les femmes rendront honneur à leurs maris, depuis le grand jusqu’au petit.

1:21 Et cette parole fut bonne aux yeux du roi et des princes. Et le roi fit selon la parole de Memucan,

1:22 et il envoya des lettres à toutes les provinces du roi, à chaque province selon son écriture, et à chaque peuple selon sa langue, portant que tout homme serait maître dans sa maison, et parlerait selon la langue de son peuple.